Le 21 septembre, j’étais présent au lancement de la campagne officielle de François Fillon à la primaire de la Droite et du Centre.
Quelle programme pour 2017 ? :
- résolument libéral conservateur,
- attaché à revoir en priorité l’éducation nationale dans son ensemble (au profit d’une vraie instruction publique) pour mettre fin au nivellement organisé par les « pédago » et, également, restaurer de vraies formations professionnelles,
- réaliste sur les relations internationales qui constituent avant tout un rapport de force, où la France a son rôle particulier à jouer dans les équilibres du monde, surtout lorsqu’Elle ne se soumet ni au monde anglo-saxon ni à quelques états de la péninsule arabique,
- conscient que l’Union européenne ne peut être légitime que si ses compétences sont limitées, démocratiques et qu’elle est privilégie l’Europe des nations, construite avec les peuples et en les associant,
- lucide sur la situation économique et financière de la France et s’attaquant en priorité au poids tentaculaire de l’Administration, dans toutes ses composantes, afin de libérer les énergies et l’inventivité françaises,
- éveillé sur la crise de conscience qui touche le Politique et l’identité française en raison d’un mondialisme déraciné et sur le danger civilisationnel que représente l’Islam radical,.
Seul François Fillon répond clairement, dans son programme, à ces préoccupations.
En outre, sa sobriété comportementale associée à une forme de droiture et d’autorité correspond à ce que recherchent les Français, irrités par une hyper-communication sans fond et un président des faits divers.
J’étais donc présent lors du lancement de la campagne officielle des primaires de la Droite et du Centre où j’ai pu apprécier un discours dont la majorité des propositions me semble la seule adaptée et cohérente à la situation critique de notre pays :