Quelle satisfaction, hier soir, d’avoir eu raison de croire au retour du bon sens qu’incarne pour moi, au regard de l’offre politique actuelle, la candidature de François Fillon (voir mon article du 21 septembre dernier sur les raisons de ce choix).
Malgré la foi en cette victoire, le score réalisé reste une surprise.
Certes, ces dernier jours, y compris pendant la journée électorale, il se passait quelques choses. Cela se mesurait par l’accueil très sympathique de nos tracts, le nombre de personnes nous interpellant sur les marchés, la réception de nombreux textos, depuis deux jours, d’amis peu politisés, voire de gauche qui éprouvaient le besoin de me dire qu’il voterait Fillon, la surfréquentation de la dernière réunion publique de vendredi, les réseaux sociaux, bref, il y avait « dans l’air, comme une étrange fraicheur qui vient traverser les couloirs de cette primaire qu’on nous disait fermée à double tour…« , pour reprendre les propres mots du premier intéressé.
Puis, après une journée de tenue de bureau de vote, satisfaisante au regard de la mobilisation des électeurs, la folie de la soirée électorales parfaitement résumé dans ce reportage :