AccorHotels Arena Bercy

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Réouverture du « AccorHotels Arena POPB »

L’octogone aux pentes toujours revêtues de gazon, supplanté de sa structure tubulaires bleue qui, contrairement au ministère des impôts, respecte, côté Seine, les rives du fleuve, n’a pas changé.

Certes les travaux extérieurs ne sont pas encore achevés mais aucune véritable « métamorphose », n’est prévue du bâtiment voulu en 1979 par Jacques Chirac pour accueillir spectacles et évènements sportifs à la hauteur de la capitale française et qui fut inauguré en 1984.

Seules les entrées sont remaniées. Cela s’imposait, notamment pour faciliter l’évacuation du public vers les métros (dont l’accès est aussi en plein travaux d’agrandissement pour doubler la capacité d’accueil de la ligne 14) et réduire les nuisances pour les riverains. Il paraît que les changements sont à l’intérieur.

C’est ce que je suis venu découvrir, ce 14 octobre 2015, avec Valérie Montandon, chef de file des républicains dans le 12e arrondissement, qui, ce jour là, représentait aussi le groupe des Républicains du Conseil de Paris et mes collègues Isabelle Tavaux et Ophélie Rota. Il y a foule pour l’inauguration de la rénovation complète de la 5e plus grande salle de concert du monde. Il s’agit donc incontestablement d’un haut lieu d’attractivité économique de Paris, dont les élus locaux doivent veiller à ce qu »il reste aussi ouvert sur la vie du 12e arrondissement. Il s’appelle désormais l’AccorHotel Arena.

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Etats généraux de la fédération de Paris

François Fillon dénonçant "Madame Tout va bien"

M. Fillon dénonçant « Madame Tout va bien »

La salle principale du siège des Républicains étaient trop petite, ce samedi 10 octobre 2015, pour accueillir les premiers états généraux de le Fédération de Paris depuis la création du parti.

Je n’ai pas de commentaire à faire puisque toutes les interventions ont été filmées.

 Elles sont disponibles sur Youtube, y compris les questions de la salle, comme celle que j’ai eu l’occasion de poser, sur le changement de la question du traitement des opiacés en France (cette question m’intéresse mais elle nécessitera un développement écrit plus long). Vous la trouverez ci-après et ensuite l’intervention de Valérie Montandon sur la situation du logement à Paris.

 

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Les poubelles d’Hidalgo

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La rue Taine, un jour de grève des éboueurs

Cette photo de la rue Taine, prise ce vendredi 9 octobre, illustre à elle seule les conséquences de la politique d’Anne Hidalgo à l’égard du personnel en charge du ramassage des ordures ménagères.

Cette grève dure depuis le 5 octobre et devrait s’achever aujourd’hui. Le mouvement a été suivi par 57 % des agents, ce qui est très importants et le mercredi, près de 9 conducteurs de benne sur 10 étaient encore en grève.

Le 12e arrondissement, où le ramassage est effectué par la ville (en régie) et non par une société qui a reçue une délégation, est particulièrement touché par l’accumulation des immondices nauséabondes.

La Maire de Paris souhaite revoir le statut de Paris pour exercer plus de compétences.

Son incapacité à empêcher puis à pallier ce mouvement de grève milite au contraire pour un partage accru des compétences avec l’échelon de proximité qu’est l’arrondissement.

 

Vers la fin des classes moyennes dans le 12e ?

Ensembles sociaux Villiot

Ensembles sociaux Villiot

« Paris sera demain réservé aux très aisés ou aux très aidés ». Ce slogan des dernières campagnes est malheureusement toujours d’actualité lorsqu’on observe dans le détail certaines délibérations votées par la Gauche en conseil d’arrondissement qui, sous couvert de terme technique comme « conventionnement » avec les organismes publics ou para-publics de logement sociaux, ont pour conséquence de « vider » le plus possible le parc de logements ouverts au personnes qui ont des revenus dits intermédiaires.

Le dernier conseil d’arrondissement en date du 14 septembre 2015 en a encore était l’illustration avec la délibération DLH 156 qui portait sur un nouveau conventionnement avec la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP) touchant directement le 12e arrondissement.

Avec cette délibération, 450 logements de notre arrondissement appartenant déjà a des bailleurs sociaux entre dans la catégorie des logements ouverts aux plus aidés.

Notre groupe d’opposition a évidemment voter contre des décisions qui empire la crise du logement à Paris puisqu’elles ne créent aucune nouvelle habitation. Ces transferts dans la catégorie logement social n’ont que pour seul objectif d’atteindre le soi-disant cap des 10.000 logements sociaux  par an. Quand la Gauche n’applique pas une politique purement idéologique, elle suit une politique de chiffre, d’affichage mais le réel ne l’intéresse pas.

Quoi qu’il en soit, elle est paradoxale car cette mesure va évidement à l’encontre de la mixité sociale. Concentrer, au sein des mêmes immeubles, les bénéficiaires les plus aidés empêchent les rapprochements de milieux sociaux différents comme à la grande époque des Haussmanniens.

Où est passé le sacro-saint « vivreensemble » ?

Je suis donc intervenu, après Valérie Montandon, pour dénoncer ce dispositif et interroger l’exécutif sur le devenir des locataires présents dans ses logements qui ne sont pas pour autant « fortunés ».

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Meeting de Valérie Pécresse le 27 septembre prochain

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Nouveaux abris bus à Paris, abris-rien

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Ils ont été imaginés, il y a plus d’un an désormais, par un empereur du désign : Marc Aurel. Mais cet empereur a malheureusement manqué de philosophie ! Si l’esprit créatif est au rendez-vous, la fonction initiale de l’abris-bus a disparue.

Et je le soutiens ce lundi 14 septembre 2015 au Conseil du 12e arrondissement de Paris.

C’est d’abord en tant qu’usager que j’ai pu me plaindre de ces lieux d’attente quotidien de « transports en commun de surface » (formulation officielle). Mais, encore peut-être craintif de la réponse des « avertis du pays » (cette modernisation des abribus ayant été adoptée à l’unanimité du Conseil), je me suis fait une raison pour ne pas critiquer d’emblée cette modernisation du mobilier urbain, en me disant que l’adaptation à toute nouveauté prend plus ou moins de temps en fonction de chaque individu.

Seulement, j’ai rarement été témoin d’une telle montée massive et unanime de reproches contre ces nouveaux abris-bus. J’ai vu des personnes âgées ou en bas âge recroquevillée sur elle même, non pas sous l’abris-bus mais derrière le panneau publicitaire, car ils avaient préféré se protéger du vent à défaut de la pluie (qui souvent rentre dans l’abri-bus. Il m’est donc apparu nécessaire de soulever ce problème concret au Conseil d’arrondissement du 14 septembre 2015 sous forme de la question orale suivante (télécharger la version PDF) :

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Vive le dynamisme des associations du 12e

Avec le bureau du Souvenir français du 12e arrondissement au forum des associations du 12 septembre 2015

Avec le bureau du Souvenir français du 12e arrondissement au forum des associations du 12 septembre 2015

Dire que les associations incarnent les forces vives d’une cité semble un assertion attendue. Elle est pourtant vraie et ce forum de 2015 dans notre arrondissement l’a encore démontré.

La pluie, malheureusement très intense ce samedi 12 septembre 2015, n’a en effet pas affecté la joie des participants de présenter les activités proposées par leur structure respective ou défendre les engagements qui ont justifié leur création. Les membres actifs qui tenaient ces stands gardaient leur sourire, leur passion en dépit du manque objectif de visiteurs par rapport à l’année dernier et de la déception de ne pouvoir convaincre plus de personnes d’adhérer.

J’ai donc particulièrement apprécié d’y avoir pu parcourir le forum, d’abord en tant qu’élu, au côté de Valérie Montandon, la présidente du groupe Les républicains du 12e, Isabelle Tavaux, conseiller d’arrondissement, Fabien Simon, chargé de mission adjoint du comité de circonscription de mon parti et d’autres adhérents actifs, dont Jean-Marie Perrier ou Arnaud Guy.

Mais j’ai également eu l’honneur d’être présent en tant qu’exposant au titre de secrétaire général du comité du 12e arrondissement du Souvenir Français (pour plus d’information sur ce point, je vous laisse découvrir le site internet que nous avons ouvert ce même jour).

Deux remarques politiques cependant. La première concerne la disparité des subventions. En effet, les associations ont bien entendu besoin du soutien public lorsqu’elles participent incontestablement à rapprocher les habitants, offrir une vie sociale, sportive ou culturelle voire combler les carences des services publics. Toutefois, je maintiens, en ayant discuter avec certains représentants associatifs, que certaines associations ne méritent pas de bénéficier de si généreux subsides. Et le prochain conseil d’arrondissement du 14 septembre sera encore la preuve de cette gabegie clientéliste. Je vous invite d’ailleurs à y assister pour mesurer ces abus.

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Dénonciation matinale des retards de la rénovation du Lycée Arago

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Au côté de Pierre-Yves Bournazel (tête de liste parisienne à l’élection régionale de décembre 2015 et conseiller de Paris), de Valérie Montandon (présidente de groupe Les Républicains dans le 12e), Franck Margain (conseiller régional et conseiller d’arrondissement du 12e), Franck Cecconi (conseiller d’arrondissement), Isabelle Tavaux (Conseiller d’arrondissement) et d’autres militants motivées à convaincre les franciliens de l’impérieuse nécessité de changer l’exécutif de la Région.

En ce jour de rentrée scolaire, dès 8h00, j’ai participé à une opération militante de dénonciation du délaissement de la compétence Lycée par la Région Ile-de-France, dont nous sommes appelés à renouveler l’assemblée délibérante en décembre 2015.

L’Ile-de-France est 20ème sur 22 région en matière de dépense d’éducation par habitant. Et sur 109 opérations de construction ou de rénovation d’établissement, 87 sont en retard !

Et le lycée Arago, situé place de la Nation, où c’est déroulé cette opération matinale au côté notamment de Pierre-Yves Bournazel, Valérie Montandon, Franck Margain, Franck Cecconi, Isabelle Tavaux, illustre parfaitement cet irrespect des lycéens parisiens.

Ce lycée comporte en effet de graves lacunes de sécurité. C’est la raison pour laquelle, dès 2006, un plan prévisionnel d’investissement, sur trois ans, s’est imposé. Son intitulé ne souffre d’ailleurs pas d’ambiguïté : « L’état de vétusté de l’établissement ainsi que l’inadaptation pédagogique nécessitent une rénovation globale« .

Le montant total de l’opération est estimé à 7,8 millions d’euros.

Malgré ce constat indiscutable, Jean-Paul Huchon attendra 2013 pour inscrire les premiers crédits au budget régional !

En revanche, le financement annuel de voyages des élus ou aux associations amis n’est jamais reporté (pour mémoire, les subventions aux associations augmentent de 199 millions d’euros de 2006 à 2014).

Autrement dit, prévue en 2006, la région aura mis 7 ans à voter les crédits pour les premières études. Le chantier devrait commencer l’été prochain.

Cette opération était aussi l’occasion de dénoncer :

  • La rénovation du lycée Chennevières-Malézieux : opération lancée en 2007. Selon le calendrier prévisionnel, le chantier devrait se terminer. Or, il ne sera pas livré avant 2017 (soit 2 ans de retard).
  • La reconstruction du lycée Paul Valéry et la création d’un internat de 150 places : opération lancée en 2011. On compte 1 an et demi de retard.

Plus généralement, les schémas suivant illustrent bien la négligence de la majorité socialo verte communiste de la région Ile-de-France en matière d’éducation :

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Mais que s’est-il passé à la Caisse des écoles ?

Extrait de l'infolettre de Valérie Montandon du 8 juillet 2015

20150618_194224La Caisse des écoles du 12e arrondissement de Paris, notamment chargée de la restauration scolaire, a fait l’objet de graves problèmes de gestion depuis 2001, révélés au grand public par le magazine le Point (lire : Paris : la gestion catastrophique des cantines scolaires du 12e et Paris : la caisse des écoles du 12e arrondissement perquisitionnée).

Particulièrement attentifs à son état financier, Corinne Tapiero et moi-même étions présents, ce mardi 7 juillet dernier, à l’assemblée générale de la Caisse des écoles. Nous y avons appris que son budget de fonctionnement de 2014 demeure en déficit de plus de 500 000 euros, sans prendre en compte le déficit cumulé qui dépasse les 2 millions d’euros. Certes, l’honnêteté nous commande de dire que la situation s’est améliorée avec l’arrivée d’un nouveau directeur (réduction d’environ 200 000 euros du niveau des investissements) mais la situation antérieure demeure opaque.

En effet, lorsque la droite a quitté le pouvoir en 2001, elle a laissé une réserve financière en bons du Trésor de 1,2 millions d’euros et 3 centres de vacances. Ces centres de vacances ont depuis été vendus pour éponger des déficits ! Et, jusqu’en 2014, l’exécutif a refusé de communiquer sur la situation financière de la Caisse.

Aujourd’hui, le maire de Paris prétend jouer le jeu de la transparence avec l’opposition démocratique mais refuse de transmettre les documents permettant de mesurer les irrégularités révélées par la presse (un rapport de l’inspection générale de la Ville de juin 2014) malgré les multiples demandes de vos élus UMP en Conseil d’arrondissement.

Cet épisode illustre le mépris dans lequel la majorité tient l’opposition, arguant que celle-ci devrait se contenter de lui faire confiance.
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Le numéro d’été 2015 du journal du 12 est sorti !

Vous pouvez le lire en ligne en cliquant sur sa une :

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